Arianna et le fill ... il était une fois...
Arianna Cox est née à Parma, le 24 mars 1975.
Elle a étudié dessin et l’art de la peinture par l’oncle maternel, Bruno Bertolini, peintre professionnel déjà dans les années ’40.
Ce quotidien vivre l’ars déjà de l’enfance la rende réceptive et à tous les formes artistiques.
“mon premier rendez-vous avec l’Art a été dans ma berceau: aiant mon oncle peintre, pas possible l’éviter long temps. A 5 ans l’atelier de mon oncle a été pour moi le cour de recréation le plus beau. L’odeur de white spirit, les tubes de couleurs écrasés à la bonne, les peintures incomplètes, les plaques de cuivre, les pièces de châssis et la papier de soie dessiné à demi mais qui avaint l’air d’être parfait et qui je l’imaginais mouvant sous les coups de pinceau… même s’il pleuvait pendant tout l’après-midi, je fais le tour parmi paysages inhabituels, visages imparfaits, émotions caches dans petits mouvements et teintes, ainsi réel qu’on ne pouvais entendre les son.
Incoyable que mon premier amour a été l’écriture: dans l’instant que j’avais compri l’importance des petites choses d’un quotidien magnifique dans sa simplicité viola, je l’ai raconté à travers poèmes, contes de fées, chansons d’un musical “la Luna & il Vento” qui fonde ma passion pour le théâtre et l’amour pour dire les histoires qui tout le monde ignore ou veut ignorer”
La passion pour la peinture, son maître de l’amé, brûle dans les braises de ces expérimentations et reste long temps dans l’atteinte d’être écoutée. La mort de l’oncle, dans le 2008, relancent les mémoires d’enfance: la sacrificiel étincelle qui la fait réinterpréter elle même dans l’unique dimension que la révèle.
“Je n’ai jamais cru que l’art est liée aux nos potentialité conscient. Dans son sens d’essence éthérée, de tout qui porte néant, se mélanges sans explications, à nos émotions pour leur nature insaisissables et pou issantes. Ansi l’art donnes la vie à quelque chose d’exclusive qui n’a pas besoin d’être par la force compris, mais seulement vécu.
Encore une magie qui m’a enseigné mon père: faire photos et développer les photos… tous mélances de gris que une machine photo digitale ne peut pas reproduire, si prés de la vérité et que peu à peu surgeon par liquidas limpides, mélanges pareille un poison, restera pour moi un mystérieux exemple de comment art et science, parfaites étrangères, peuvent sans cesse créer symbioses magnifiques. L’art est un grand maltre de vie, et moi, pareil l’Apprenti Sorcier, continuerai à expérimenter, me tromper et comprendre”.